À VOUS DE JOUER.
Que pouvez vous suggérer pour aider les nouveaux suppléants à faire face aux réalités de la suppléance ?
Que pouvez vous suggérer pour aider les nouveaux suppléants à faire face aux réalités de la suppléance ?
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4 commentaires:
Je peux dire aux nouveaux qui sortent surtout d'être patients! Une fois l'entrevue passée, le téléphone va sonner... Mais lâchez pas votre job d'étudiant. Disons que j'ai des regrets... ET des dettes! Mais j'ai espoir dans ma Commission scolaire. Il reste des babyboomers...
Je suis une petite nouvelle. On m'a jamais demandé de passer en entrevue, c'était seulement de la paperasse à fournir et pouf! J'avais le droit de remplacer un "vrai" prof.
Ce que je vous conseille, c'est de défoncer des portes. C'est le seul moyen de s'en sortir mieux que les autres. Vous n'êtes pas invités à la séance d'affectation? Allez-y pareil! À une formation donnée par la CS? Il reste toujours de la place, informez-vous. Plus vous vous faites voir, plus il vont se rendre compte que vous voulez VRAIMENT (parce que tout le monde veut, mais plusieurs s'imposent des limites: "moi je veux pas travailler à telle école, remplacer dans un autre champ, etc.")
La vie, c't'une jungle. La suppléance, c'est pire qu'une jungle.
Tous mes respects au Tarzan que tu es! Je n'aurais pas dit mieux!
En effet, il faut foncer : n'attendez-pas désespérément sur votre sofa que le téléphone sonne! Surtout à Montréal, c'est à vous d'appeler les répartitrices (métier semble-t-il exclusivement féminin à la CSDM...).
Allez hop, le matin on se lève à 6h30 (minimum) et on appelle aussitôt les répartitrices de notre réseau.
Vous pouvez me croire, ça se mérite les premières semaines, mais une fois que votre nom est connu, elles vous appellent même la veille au soir (ouah le luxe!)
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